dimanche 4 mai 2008
samedi 26 avril 2008
Parenthèse Cévenole
Petite escapade en Lozère et en famille durant ces vacances voici quelques espèces que l'on ne rencontrera pas en Isère mais qui méritent le coup d'oeil.
Asarina procumbens, scrophulariaceae typique des rochers siliceux


Adonis vernalis relique des climats plus steppiques, elle pousse sur le Causse Méjean, elle est protégée (Merci à Pascal du forum botaniste pour la localisation).

Anogramma leptophylla, une petite fougère, la seule de notre flore à être annuelle, toutes les autres sont vivaces. (très content de la trouver celle là...)

Ophrys lutea, en limite des Cévennes vers Alès un joli Ophrys du sous genre pseudophrys dont la pollinisation par les insectes se fait la tête dirigée vers le bas du labelle.
Pour une fois la détermination de cet ophrys est facile, les orchido ne l'ont pas découpé en dizaine de microespèces.
Asarina procumbens, scrophulariaceae typique des rochers siliceux
Adonis vernalis relique des climats plus steppiques, elle pousse sur le Causse Méjean, elle est protégée (Merci à Pascal du forum botaniste pour la localisation).
Anogramma leptophylla, une petite fougère, la seule de notre flore à être annuelle, toutes les autres sont vivaces. (très content de la trouver celle là...)
Ophrys lutea, en limite des Cévennes vers Alès un joli Ophrys du sous genre pseudophrys dont la pollinisation par les insectes se fait la tête dirigée vers le bas du labelle.
Pour une fois la détermination de cet ophrys est facile, les orchido ne l'ont pas découpé en dizaine de microespèces.
vendredi 18 avril 2008
Souscription atlas de la flore de l'Isère
Depuis le 1er avril, il est possible de d'acheter en souscription directement auprès de Gentiana (Association botanique Isèroise)
Edité par Biotope c'est forcément un bel ouvrage.
l'atlas des plantes protégées et règlementées de cueillette du département de l'Isère
Edité par Biotope c'est forcément un bel ouvrage.
Le printemps traîne la patte. Pas grand chose à mettre sous la lorgnette de l'appareil photo.
Je suis allé sur des pelouses écorchées où les annuelles de printemps sont d'habitude au rendez- vous.
Quelques photos quand même...
Une orobanche, peut-être Orobanche teucrii à la vue des feuilles de Teucrium chamaedrys qui sont derrière, je n'ai pas remarqué de rubiaceae suffisamment proche pour que ce soit Orobanche caryophyllacea.

Taraxacum de la section erythrospermum qui comme son nom l'indique a des fruits rouges à maturité contrairement aux Taraxacum de la section ruderalia. Les feuilles sont aussi beaucoup plus découpées.


Un petit ceraiste Cerastium brachypetalum dont le calice n'a pas de bords scarieux et dont les poils dépassent largement le bord des sépales.
Un carex bien petit, Carex caryophyllea avec son plumeau d'étamines.
Je suis allé sur des pelouses écorchées où les annuelles de printemps sont d'habitude au rendez- vous.
Quelques photos quand même...
Une orobanche, peut-être Orobanche teucrii à la vue des feuilles de Teucrium chamaedrys qui sont derrière, je n'ai pas remarqué de rubiaceae suffisamment proche pour que ce soit Orobanche caryophyllacea.
Taraxacum de la section erythrospermum qui comme son nom l'indique a des fruits rouges à maturité contrairement aux Taraxacum de la section ruderalia. Les feuilles sont aussi beaucoup plus découpées.
Un petit ceraiste Cerastium brachypetalum dont le calice n'a pas de bords scarieux et dont les poils dépassent largement le bord des sépales.
lundi 14 avril 2008
Petite balade sur sol calcaire
Le bois de Sainte Lucie (Prunus mahaleb L.) est un arbuste très fréquent des forêts claires sur calcaire. Ses fleurs sont blanches et les feuilles ovales de taille moyenne sont fréquemment pliées en deux ce qui permet de le reconnaître même en dehors de la période de floraison.
Les prunus font parti de la sous-famille des amygdaloideae (Rosaceae) car ils n'ont qu'un seul carpelle.

Festin de pollen pour cet insecte sur une inflorescence de Viburnum lantana L.

Un chaton femelle de Salix caprea L.

L'euphorbe réveil-matin (Euphorbia helioscopia L.) la nature est parfois géomètre... En cliquant sur la photo on voit bien l'inflorescence particulière (le cyathium) des euphorbes (voir à ce propos la synthèse sur tela).
Les prunus font parti de la sous-famille des amygdaloideae (Rosaceae) car ils n'ont qu'un seul carpelle.
Festin de pollen pour cet insecte sur une inflorescence de Viburnum lantana L.
Un chaton femelle de Salix caprea L.
L'euphorbe réveil-matin (Euphorbia helioscopia L.) la nature est parfois géomètre... En cliquant sur la photo on voit bien l'inflorescence particulière (le cyathium) des euphorbes (voir à ce propos la synthèse sur tela).
samedi 12 avril 2008
Capsella
La bourse à pasteur est une espèce cosmopolite qui fleurit pendant une grande partie de l'année.
Elle présente des silicules en cœur qui permettent une identification fiable.
Selon les auteurs il existe une espèce avec deux sous-espèces ou bien deux espèces à part entière sur la base de la stérilité de l'hybride.
Ici la plante photographiée est Caspella bursa-pastoris ssp rubella qui possède des fleurs de petite taille dont les sépales sont bordés de rouge et les silicules, presque aussi longues que larges, ont des bords concaves.
Cette espèce est très fréquente.
jeudi 6 mars 2008
Veronica polita fr.
La véronique luisante peut si l'on n'y prend garde aisément se confondre avec la très commune véronique de Perse (Veronica persica Poir.), elle s'en distingue surtout par ces fruits qui ne sont pas carénés comme V. persica mais ronds.
Les feuilles sont plus petites une peu plus épaisses et plus crénelées. Le vert du feuillage est également différent.

Les fleurs ne sont pas sur les photos mais elles aident aussi à la détermination, leur teinte est plus soutenue et leur taille plus petite, et présentent un pédicelle plus court à un peu plus long que la bractée (vs. nettement plus long chez Veronica persica).
Elle pousse dans les terres un peu travaillées (jardins, culture) et aussi dans les vieux murs ensoleillés.
Les feuilles sont plus petites une peu plus épaisses et plus crénelées. Le vert du feuillage est également différent.
Elle pousse dans les terres un peu travaillées (jardins, culture) et aussi dans les vieux murs ensoleillés.
samedi 23 février 2008
Viola alba L.
La violette blanche est blanche comme son nom l'indique mais pas toujours.
La sous-espèce Viola alba ssp dehnhardtii que l'on trouve plus fréquemment au sud mais que l'on peut trouver en Isère, est bleue).
Elle est acaule, stolonifère et ses stipules sont plus fins que les autres espèces (2mm à la base)

La sous-espèce Viola alba ssp dehnhardtii que l'on trouve plus fréquemment au sud mais que l'on peut trouver en Isère, est bleue).
Elle est acaule, stolonifère et ses stipules sont plus fins que les autres espèces (2mm à la base)
Viola odorata L.
La violette odorante comme son nom l'indique dégage un agréable parfum de .... violette!
Elle fait aussi partie du groupe des violettes acaules et sépales obtus mais elle est très proche de Viola suavis (Viola s. a été longtemps confondue avec Viola o.).
Elle possède des stolons en général longs et fins et des nectaires trapus qui ne sont pas arrondis à l'extrémité.
Ses stipules sont bordées de courtes franges beaucoup moins longues Viola suavis.
Les fleurs chasmogames fleurissent en présence de feuilles estivales qui sont cordiformes.


les stipules sont largement lancéolées.
Elle fait aussi partie du groupe des violettes acaules et sépales obtus mais elle est très proche de Viola suavis (Viola s. a été longtemps confondue avec Viola o.).
Elle possède des stolons en général longs et fins et des nectaires trapus qui ne sont pas arrondis à l'extrémité.
Ses stipules sont bordées de courtes franges beaucoup moins longues Viola suavis.
les stipules sont largement lancéolées.
vendredi 22 février 2008
Viola hirta L.
La violette hérissée est une violette de même type que celle du post précédent (Viola suavis).
Elle fait partie du sous genre Viola, elle n'a pas de tige et a des sépales obtus.
Cependant celle-ci n'est pas stolonifère et n'a pas de parfum. Ses stipules sont largement lancéolées mais elles sont nettement moins frangées que Viola suavis.
L'éperon est de la même couleur que les pétales voire un peu plus foncé (contrairement à Viola suavis qui a l'éperon plus clair que la corolle), il n'est pas pointu mais arrondi à l'extrémité...
Un critère important pour différencier V. hirta c'est qu'au printemps elle produit des fleurs uniquement en présence de jeunes feuilles (les feuilles estivales de la saison passée sont détruites en hiver). Les jeunes feuilles se reconnaissent car elles sont bien vertes et pas abimées.
Ce n'est pas le cas de Viola odorata.


Elle fait partie du sous genre Viola, elle n'a pas de tige et a des sépales obtus.
Cependant celle-ci n'est pas stolonifère et n'a pas de parfum. Ses stipules sont largement lancéolées mais elles sont nettement moins frangées que Viola suavis.
L'éperon est de la même couleur que les pétales voire un peu plus foncé (contrairement à Viola suavis qui a l'éperon plus clair que la corolle), il n'est pas pointu mais arrondi à l'extrémité...
Ce n'est pas le cas de Viola odorata.
dimanche 10 février 2008
Viola suavis M. Bieb
Voilà, qu'après l'hiver (qui se raccourcit de plus en plus), la nature refait surface.
Se chauffant des premiers rayons de soleil du mois de févier une petite violette pointe sa corolle bleu pâle entre les pierres d'un vieux mur.
Elle fait partie du groupe des violettes (sous-genre Viola) qui se caractérisent par des stipules non palmatiséquées ou pennatiséquées (comme le sous-genre Melanium = Pensées), mais au maximum frangées.
Ce sous-genre présente des fleurs d'abord chasmogames bien visibles et peu fertiles en début de saison puis des fleurs cléistogames beaucoup moins visibles dont la floraison dure beaucoup plus longtemps.
En ce qui concerne notre espèce, elle n'a pas de tige et a des sépales obtus. Elle possède des stipules largement lancéolées dont les franges sont fréquemment supérieures à 1 mm, ainsi que des rameaux stoloniformes en général courts et épais.
La violette suave a un léger parfum plus subtil que la violette odorante, elle est aussi moins prononcée dans ses couleurs. La violette odorante tire sur le violet foncé alors que Viola suavis est bleue.
Le pétale inférieur est veinée de violet foncé (mais pas toujours) les nervures sont peu nombreuses et peu ramifiées.
On voit bien l'éperon qui est souvent en cornet sans que se soit un critère sûr.


Une stipule frangée avec des franges supérieures à 1 mm. Elle est plus frangée que Viola hirta et que Viola odorata.
La détermination des violettes est délicate (je trouve) il faut observer les stipules attentivement et bien souvent observer la fleur en détails (nectaires).
Se chauffant des premiers rayons de soleil du mois de févier une petite violette pointe sa corolle bleu pâle entre les pierres d'un vieux mur.
Elle fait partie du groupe des violettes (sous-genre Viola) qui se caractérisent par des stipules non palmatiséquées ou pennatiséquées (comme le sous-genre Melanium = Pensées), mais au maximum frangées.
Ce sous-genre présente des fleurs d'abord chasmogames bien visibles et peu fertiles en début de saison puis des fleurs cléistogames beaucoup moins visibles dont la floraison dure beaucoup plus longtemps.
En ce qui concerne notre espèce, elle n'a pas de tige et a des sépales obtus. Elle possède des stipules largement lancéolées dont les franges sont fréquemment supérieures à 1 mm, ainsi que des rameaux stoloniformes en général courts et épais.
La violette suave a un léger parfum plus subtil que la violette odorante, elle est aussi moins prononcée dans ses couleurs. La violette odorante tire sur le violet foncé alors que Viola suavis est bleue.
Une stipule frangée avec des franges supérieures à 1 mm. Elle est plus frangée que Viola hirta et que Viola odorata.
La détermination des violettes est délicate (je trouve) il faut observer les stipules attentivement et bien souvent observer la fleur en détails (nectaires).
samedi 19 janvier 2008
Les fougères.
J'ai déjà présenté quelques espèces de fougères (Cystopteris, Botrychium de loin mon préféré) mais il y en a beaucoup d'autres et l'Isère avec 58 espèces est un département parmi les plus riches.
Les fougères sont plus évoluées que les mousses parce qu'elles possèdent des vaisseaux conducteurs de sève.
Elles n'ont cependant pas acquis autant d'indépendance vis à vis de l'eau que les plantes à fleurs.
Elles ont impérativement besoin d'eau pour une phase de leur reproduction, lorsque les anthérozoides nagent à la surface du prothalle pour rejoindre les archégones.
Les plantes à fleurs quant à elles même si elles ont des besoins variés en eau pour leur croissance, peuvent se passer complètement d'eau pour la reproduction.
Beaucoup de fougères se rencontrent donc dans des milieux où l'humidité est grande (forêts, ravins, rochers suintants...) mais certaines ont réussi à limiter leurs besoins en eau en dehors de la reproduction (bon nombre de fougères poussent dans des anfractuosités de rochers, d'autres supportent même la dessiccation comme le Ceterach officinarum).
Voici quelques photos de fougères fréquentes dans le département :
Dryopteris villarsii
caractéristique des fentes de lapiaz des rochers calcaires en montagne
Dryopteris affinis (ssp borreri)
Plante très proche de D. filix-mas, il s'en distingue (entre autre) par les taches noires à l'attache des pennes sur le rachis.
Asplenium adiantum-nigrum
plante à feuilles luisantes se développant surtout sur substrat acide
Asplenium fontanum
Les fougères sont plus évoluées que les mousses parce qu'elles possèdent des vaisseaux conducteurs de sève.
Elles n'ont cependant pas acquis autant d'indépendance vis à vis de l'eau que les plantes à fleurs.
Elles ont impérativement besoin d'eau pour une phase de leur reproduction, lorsque les anthérozoides nagent à la surface du prothalle pour rejoindre les archégones.
Les plantes à fleurs quant à elles même si elles ont des besoins variés en eau pour leur croissance, peuvent se passer complètement d'eau pour la reproduction.
Beaucoup de fougères se rencontrent donc dans des milieux où l'humidité est grande (forêts, ravins, rochers suintants...) mais certaines ont réussi à limiter leurs besoins en eau en dehors de la reproduction (bon nombre de fougères poussent dans des anfractuosités de rochers, d'autres supportent même la dessiccation comme le Ceterach officinarum).
Voici quelques photos de fougères fréquentes dans le département :
caractéristique des fentes de lapiaz des rochers calcaires en montagne
Plante très proche de D. filix-mas, il s'en distingue (entre autre) par les taches noires à l'attache des pennes sur le rachis.
plante à feuilles luisantes se développant surtout sur substrat acide
Beaucoup de fougères se ressemblent énormément au premier abord. L'observation des bons caractères et un peu d'habitude permet la plupart du temps d'en venir à bout.
Comme le dit Rémy Prelli, avec une telle délicatesse comment leur pardonner de ne pas fleurir...
Comme le dit Rémy Prelli, avec une telle délicatesse comment leur pardonner de ne pas fleurir...
vendredi 7 décembre 2007
Juncus jacquini L.
Les joncs ne sont pas très appèciés, pas de belles fleurs bien voyantes qui attirent les insectes. Du vert beaucoup de vert parmi les herbes.
Mais quand on les regarde de plus près, certains acceptent de se montrer sous un jour nouveau...
Le jonc de Jacquin ouvrent ses tépales brun noiratres et libère un magnifique stigmate plumeux spiralé entouré de sa cour d'étamines jaune soufre. Le tout doit faire à peine plus de 1 cm.
Sur la photo une seule fleur est représentée mais elle poussent en une inflorescense globuleuse d'une dizaine de fleurs.
Il pousse en altitude dans les pelouses acides et humides de l'étage subalpin à alpin.
A découvrir au mois de juillet août, il faudra patienter encore un peu.
Mais quand on les regarde de plus près, certains acceptent de se montrer sous un jour nouveau...
Le jonc de Jacquin ouvrent ses tépales brun noiratres et libère un magnifique stigmate plumeux spiralé entouré de sa cour d'étamines jaune soufre. Le tout doit faire à peine plus de 1 cm.
Sur la photo une seule fleur est représentée mais elle poussent en une inflorescense globuleuse d'une dizaine de fleurs.
Il pousse en altitude dans les pelouses acides et humides de l'étage subalpin à alpin.
A découvrir au mois de juillet août, il faudra patienter encore un peu.

vendredi 16 novembre 2007
Un petit jeu...
Durant cet hiver, j'essaierai de mettre en ligne quelques photos prises au cours de la saison, histoire de ne pas laisser le blog hiberner...
Voici la première photo que j'ai prise la saison passée, elle date du début du mois de mars.
Je ne vais pas pour une fois indiquer le nom de l'espèce qui est TRÈS connue mais dont les fleurs minuscules et minimalistes (au moins pour l'un des deux sexes) passent inaperçues.
Ne cherchez pas une plante dont la taille est en rapport avec celle de la fleur.
La couleur n'est pas modifiée sous photoshop, il y a juste un p'tit coup de flash sur "les cheveux rouges".
En cliquant sur la photo, elle s'agrandit et l'on peut voir en jaune quelques grains de pollen piégés par les stigmates rouges de la fleur femelle.
A vous de jouer !
(Laisser vos réponses dans les commentaires.)
Voici la première photo que j'ai prise la saison passée, elle date du début du mois de mars.
Je ne vais pas pour une fois indiquer le nom de l'espèce qui est TRÈS connue mais dont les fleurs minuscules et minimalistes (au moins pour l'un des deux sexes) passent inaperçues.
Ne cherchez pas une plante dont la taille est en rapport avec celle de la fleur.
La couleur n'est pas modifiée sous photoshop, il y a juste un p'tit coup de flash sur "les cheveux rouges".

A vous de jouer !
(Laisser vos réponses dans les commentaires.)
dimanche 11 novembre 2007
en attendant le printemps...
lundi 8 octobre 2007
Paspalum dilatatum Poir.
En fin de saison, les invasives prennent leurs aises. En voici une parmi d'autres, une poacée particulièrement jolie je trouve avec ses stigmates pourpres qui ressortent des glumes nervurées. Les épis sont marqués à la base par une touffe de poils assez longs qui est bien caractéristique. C'est une plante haute de 20 à 50 cm.
C'est une plante que l'on trouve plus fréquemment dans le sud mais qui remonte de plus en plus vers le nord.
Vue dans l'aglomération Grenobloise en ce mois d'octobre.


C'est une plante que l'on trouve plus fréquemment dans le sud mais qui remonte de plus en plus vers le nord.
Vue dans l'aglomération Grenobloise en ce mois d'octobre.



mardi 18 septembre 2007
Aster amellus L.
L'aster amelle ou la marguerite de la saint Michel est un aster de l'étage collinéen sur sol calcaire dans des forêts (chenaies, pinèdes), pelouses sèches ou franges forestières à géranium sanguin.
Sa floraison est très tardive (de fin août à octobre).
Aucun risque de confusion avec une autre fleur.
Le milieu, les feuilless poilues sur les deux faces, les bractées obtuses de l'involucre et le faible nombre de fleurs par pieds le différencie au premier coup d'oeil des asters américains (groupe d'Aster novi-belgii L.)
C'est une plante protégée au niveau national que l'on trouve sur seulement quelques communes en Isère.


Sa floraison est très tardive (de fin août à octobre).
Aucun risque de confusion avec une autre fleur.
Le milieu, les feuilless poilues sur les deux faces, les bractées obtuses de l'involucre et le faible nombre de fleurs par pieds le différencie au premier coup d'oeil des asters américains (groupe d'Aster novi-belgii L.)
C'est une plante protégée au niveau national que l'on trouve sur seulement quelques communes en Isère.



mercredi 12 septembre 2007
Heliotropium europeum L.
L'Héliotrope est une boraginacée qui pousse souvent à proximité des activités humaines, friches, bords de routes etc...
Elle est haute d'environ 60-80 cm avec des cymes scorpioides composées de fleurs blanches, qui défleurissent en commençant par leur partie la plus proche de l'axe (tige), on la croise souvent avec seulement le bout des cymes en fleur le reste étant composé de fruits entourés de sépales velus.



Elle est haute d'environ 60-80 cm avec des cymes scorpioides composées de fleurs blanches, qui défleurissent en commençant par leur partie la plus proche de l'axe (tige), on la croise souvent avec seulement le bout des cymes en fleur le reste étant composé de fruits entourés de sépales velus.




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